Et en plus, il ne connaît ni le français, ni la génétique…
En effet, il résume la définition du mot variété à une seule de ses acceptions, négligeant (volontairement ?) un sens courant que l’on retrouve dans n’importe quel dictionnaire (pour moi, c’est le Petit Robert) :
« Subdivision de l’espèce, délimitée par la variation de certains caractères individuels »
Et ce n’est pas une acception récente, puisqu’elle est attestée dans ce sens depuis 1690.
Et il ne connaît pas non plus la définition du mot clone :
« descendance d’un individu par multiplication végétative »
Or les variétés hybrides de maïs commercialisées sont bien issues de multiplication sexuée, et ne peuvent donc prétendre au qualificatif de clone.
Normal que l’INRA ne tienne pas à conserver dans ses rangs de tels boulets